Yubel Von Sleben
Yubel Von Sleben
农民
Bonjour, mon nom est Yubel Von Sleben et je suis arrivé dans ces contrées le : 06/03/2023 . Entre nous, j'ai déjà écrit : 2
Yubel Von SlebenDestinity
Nom : Von Sleben
Prénom : Yubel
Nom de code : Kay, en raison de la sonorité similaire à l’acronyme KI, pour « Killing Instinct ». Il faut dire que tu leur as un peu trop fait le coup du mort pour leur sauter à la gorge...
Âge : 26 ans
Date et heure de naissance : 25 décembre 1997 à 19h
Lieu de naissance : Dans une maison des bas quartiers de Peckham
Nationalité : Double nationalité allemande et anglaise : anglais de par ta mère, allemand de par ton père
Langues parlées : Anglais
Prénom : Yubel
Nom de code : Kay, en raison de la sonorité similaire à l’acronyme KI, pour « Killing Instinct ». Il faut dire que tu leur as un peu trop fait le coup du mort pour leur sauter à la gorge...
Âge : 26 ans
Date et heure de naissance : 25 décembre 1997 à 19h
Lieu de naissance : Dans une maison des bas quartiers de Peckham
Nationalité : Double nationalité allemande et anglaise : anglais de par ta mère, allemand de par ton père
Langues parlées : Anglais
Humain
Description des capacités spéciales
Par un simple toucher et ta volonté, tu es capable de détruire toute chose vivante que tu touches. Plus précisément, ton toucher détruit les cellules d’un être vivant : plus le contact est prolongé, plus les cellules sont détruites. Et le résultat n’est jamais joli à voir, en plus d’être douloureux. Pour les plus chanceux et réactifs, la peau est irritée, rouge. Pour les moins réactifs, en revanche... Et plus tu arrives à prolonger le contact, plus l’effet a de risques de perdurer par la suite. Cela t’est déjà arrivé une fois de causer de tels dommages que ta victime a vu sa chair être rongée durant deux bonnes minutes après que tu l’aies lâché...
PhysiqueNothing to see but a twisted beast.
Taille : 1m80 quand tu te tiens droit, ce qui n’est pas toujours le cas
Poids : 80 kg
Main directrice : Droitier
Groupe sanguin : B+
Antécédents : Drogue, tabac, maltraitance dans l’enfance, anémie sévère, automutilation
Maladies : Schizophrénie, troubles de la personnalité
Vue : Plutôt bonne, surtout lorsque tu es clean
Activité sportive : Course à pied, sports de combat, escalade
Couleur des yeux : Gris
Couleur des cheveux : Blancs
Démarche : Tantôt traînante quand tu es « calme », tantôt agressive quand tu es en manque, tu peux aussi te faire silencieux lorsque tu « chasses ». Le plus souvent, tu es légèrement voûté en avant
Voix : Traînante quand tu es décidé à te montrer sarcastique, le plus souvent proche d’un grondement d’animal sauvage
Peau : Claire, souvent pâle en raison de l’anémie persistante
Style vestimentaire : Des habits assez près du corps pour pouvoir bouger librement, des couleurs sombres et des manches longues pour cacher tes exactions plus facilement
Signes distinctifs : Une marque sur la nuque, représentant un serpent la gueule ouverte ; un tatouage dans ton dos ; cicatrices de coupure et traces d’injection sur les avant-bras
CaractèreI’m not alone in there, who will jump at you ?
S'il est un mot qui pourrait te qualifier, ce serait sans nul doute le terme instable. On ne peut jamais vraiment prévoir tes réactions, peu importe qui se trouve face à toi, peu importe son rôle dans la société.
On peut te classer parmi les asociaux. Si quelque chose te déplaît, tu ne te gêneras pas pour le dire même si ça a de quoi agacer ou choquer. Tu es également un féru de sciences, tout ce qui peut aiguiser ta logique ou attirer ta curiosité est le bienvenu : mathématiques, médecine, études scientifiques de certaines scènes de crime... Oui, parfois tu aimes t'incruster dans le domaine de la police. Déviation familiale, pourrait-on dire. Méfiant de nature, tu n'accordes pas facilement ta confiance.
Tu te montres parfois froid, hautain, comme si tu voulais prouver ta supériorité sur les autres... mais disons que c’est juste une manière de te protéger. Tu peux aussi être dit suicidaire, mais la vérité, c’est que tout ce que tu fais, c’est soit par curiosité malsaine, soit pour garder le contrôle sur tes troubles mentaux.
Ta schizophrénie s’est construite petit à petit, même si elle prend ses racines dans la conséquence du vœu de ta mère. Des hallucinations horribles pour un gamin de 6 ans, auxquelles tu as fini par t’habituer. A force de survivre en enfer...
À force de subir des coups, tu as tenté de te protéger d’une façon ou d’une autre. Et tu as ainsi construit plusieurs masques, qui ont fini par devenir de vraies personnalités. Tu es conscient de leurs présences, et elles sont conscientes de la tienne. Tu échanges parfois ta place avec elles, quand elles ne tentent pas de la prendre de force.
Tu es un junkie, et tu l’assumes pleinement. Tu es sarcastique, sadique, tu adores faire souffrir ceux qui se placent dans ta route. Tu abuses largement de ton pouvoir si on te le laisse libre, et tu as une vision déviée de la justice. Quand tu ne peux pas avoir accès à ta dose, il t’arrive de fumer du tabac, c’est toujours mieux que rien. Ça a le mérite de calmer un peu le chaos qui règne dans ta tête.
Mais en dépit de tout cela, tu as un bon fond. Simplement, il est enfoui si profondément que tu doutes de quiconque prétend que tu peux être meilleur. Il y a cependant des petites choses qui ne te rendent pas « irrécupérable » : tout d’abord, tu refuses que des animaux soient des cobayes. Ensuite et surtout, tu es du genre à t’interposer si tu es témoin de maltraitances sur des enfants. Prendre des coups ne te dérange pas, et tu préfères encore subir que de voir un autre enfant abandonné aux mains d’un tortionnaire. Masochiste ? Probablement. Egoïste ? Possible.
Oh, qu’on ne te prenne pas pour quelqu’un qui se soucie trop des enfants... c’est juste que tu refuses qu’un autre subisse ton enfer. S’il se fait mal tout seul, tu t’en moqueras éperdument.
HistoireSent to my grave, again I rise...
- Actes de torture et de barbarie sur des membres des forces de l’ordre et des civils
- Séquestrations et assassinats multiples sur des membres des forces de l’ordre et des civils
- Parricide
Von Sleben... un nom qui ne dirait pas grand-chose à une partie de la population, et pourtant. Ton père était policier, mais l’honnêteté était loin d’être sa qualité. Flic corrompu, mari violent, père indigne... toi et ta mère étiez ses souffre-douleurs préférés. Il s’est tout de même abstenu de la frapper trop fort pendant qu’elle t’attendait, ne voulant pas perdre sa chance de récupérer une seconde victime presque gratuitement.
Il ne t’a pas touché avant que tu n’aies trois ans, préférant certainement le plaisir de chasser sa proie à celui de se contenter d’une cible trop facile. Il ne t’envoyait en cours que sporadiquement, juste assez pour t’assurer de bonnes notes, en sachant très bien que son métier et ses relations avec ses collègues le mettaient à l’abri de toute poursuite en justice.
Tu n’avais que six ans lorsque tu frôlas la mort d’un peu trop près. Ta mère dut inventer une excuse valable pour justifier de ton état à l’urgentiste qui te prit en charge, et tandis que tu te remettais lentement de cette correction trop sévère - pour quel motif au juste ? Tu l’as oublié depuis le temps - elle pria. Elle fit un vœu afin que ton bourreau de père ne puisse jamais te tuer de ses mains.
Ce vœu eut deux conséquences : tout d’abord, tes cheveux blanchirent complètement et ne reprirent jamais leur couleur d’origine, peu importe le temps passé. Et ce fut à partir de cet instant que tu commenças à avoir des hallucinations. Tout autour de toi pouvait te sembler hostile par moments, et tu n’avais d’autre choix que de te réfugier dans le premier abri venu...
Pendant une dizaine d’années, son vœu te protégea. Chaque fois qu’il tentait de te frapper une fois de trop, c’était comme si une force invisible l’obligeait à déporter son coup sur le mur le plus proche. Mais cette situation ne pouvait plus durer, vous n’en pouviez plus. Surtout qu’à force de subir cette maltraitance, ton mental en avait pris un sacré coup...
Tu étais devenu officiellement schizophrénique, voyant et entendant des choses irréelles, mais en plus tu avais commencé à développer un trouble de la personnalité. Troubles qui ne s’arrangeaient pas avec la drogue que tu prenais, mais c’était le seul moyen que tu avais pour te « calmer » un peu.
Peu avant tes seize ans, ta mère rassembla quelques maigres économies, mit quelques-unes de vos affaires dans une valise et prit la fuite, en t’entraînant avec elle dans sa tentative éperdue de fuite. Elle tenta de dénoncer les agissements de ton père, mais hélas pour elle et pour toi, elle tomba sur un des collègues de ton bourreau au commissariat. Il refusa de croire à ce que vous disiez, prétendant qu’elle s’était fait ça toute seule, que tu l’avais cherché ; bref, que son « ami » était innocent.
Vous ne pouviez compter que sur vous-même. Ta mère enchaînait des heures de ménage tandis que toi, tu faisais la manche dans la rue. Vous ne gagniez pas des fortunes, juste de quoi avoir un petit appartement minable dans un sale quartier. Et vous pensiez naïvement que cela suffirait à vous mettre à l’abri de lui... Vous aviez tort. Il ne mit que quelques semaines à vous retrouver.
Ta mère était rentrée avant toi, pour une fois. Lorsque cela arrivait, tu l’entendais fredonner doucement lorsque tu ouvrais la porte, et tu sentais l’odeur du repas qui cuisait. Ce jour-là, tu sentais l’odeur du repas avant même d’ouvrir la porte, mais tu ne l’entendis pas en ouvrant la porte. Tu ne rentras pas immédiatement, saisi d’un mauvais pressentiment, mais tu n’eus que le temps de faire demi-tour avant de sentir le canon d’une arme pointée sur toi. Tu reçus un violent coup de crosse à la tête, tombant au sol à moitié sonné.
Lorsque tu fus apte à reprendre complètement tes esprits, tu écarquillas les yeux de terreur. Ta mère était devant toi, ayant été rouée de coups par votre bourreau qui avait réussi à retrouver votre piste. Ton père te fixait avec un sourire mauvais, pointant une arme vers ta mère. Tu ne te souviens plus exactement des mots qu’il a employés avant de tirer. Tu l’as vue tomber au sol, et tu savais qu’elle ne se relèverait plus cette fois.
« Maintenant qu’elle n’est plus là pour me gêner, c’est à ton tour... »
Une rage nouvelle t’envahit. Une rage qui, couplée à l’adrénaline, te permit de te relever et de lui bondir dessus, parvenant à le désarmer et à envoyer l’arme assez loin sous l’effet de la surprise. Tandis que tu le maintenais au sol, imaginant mille morts possibles, une silhouette étrange se présenta face à toi. Une silhouette avec un chapeau haut-de-forme, qui semblait clairement sortir de nulle part. Le Marionnettiste, ainsi qu’il s’était présenté, te proposa d’exaucer un vœu. Ton vœu le plus cher...
Tu savais exactement ce que tu voulais, qu’il ne puisse plus s’échapper. Tu émis ton vœu à voix haute, et une fois certain que ton père ne pouvait plus s’échapper, tu relâchas ta prise pour serrer la main tendue par le Marionnettiste. Tu avais conclu un pacte, et même si tu ignorais ce que tu allais recevoir en contrepartie, tu savais vaguement que tu aurais un nouveau « don ». Ta mère t’en avait parlé il y a de cela plusieurs années.
Tu voulais qu’il t’implore de le tuer. Il fut forcé de rester dans ce taudis, incapable de bouger. Il te hurlait des injures, prétendant ensuite regretter tout ce qu’il avait fait... mais tu ne te laissais pas avoir. Il survit trois ans à tes diverses tortures avant que tu n’aies « pitié » de lui. Tu ne lui offris même pas le plaisir d’une mort douce.
C’est d’ailleurs un mois après ton vœu que tu as découvert ton pouvoir. Alors qu’il venait une fois de plus de t’insulter, incapable de faire autre chose que cela dans son état, tu lui as violemment saisi le bras, avec une folle envie de le faire souffrir davantage, de pouvoir le détruire sur le champ. Ses hurlements de douleur soudain t’ont intrigué, car tu n’avais aucun souvenir de lui avoir brisé le moindre os à cet endroit... Et lorsque tu relâchas ta prise, tu remarquas que sa peau était comme rongée à l’endroit exact où tu l’avais saisi.
Tu avais trouvé un boulot pas trop contraignant, et qui payait très bien, en dépit des risques que tu prenais pour ta santé : tu étais cobaye pour un groupe pharmaceutique. Et les drogues qu’ils testaient étaient assez violentes pour nécessiter de vous garder attachés à vos sièges... mais ce n’était pas comme si tu te souciais de la douleur, l’ayant vécu pendant près de seize années.
De plus, tu avais déjà commencé à tester en privé l’effet de diverses drogues et poisons. Il était très facile de s’en procurer dans les bas quartiers, après tout.
Mais il y a eu un... incident. Le scientifique chargé de superviser les groupes de tests fut retrouvé mort, un peu moins de deux ans après ton entrée dans le service. Suicide ou accident, dit la version officielle. Sauf que toi, tu sais que ce n’était ni un accident, ni un suicide. Car après tout, c’est toi qui t’es débarrassé de lui. Il te fallait bien un coup d’essai avant de te défaire de ton fardeau de géniteur, pas vrai ? Après tout, ce n’était pas une grosse perte. Non content d’être un sadique de première, c’était un camé qui n’hésitait jamais à se droguer pendant son travail. Cela a causé sa perte.
Mais cela a mis à mal le projet durant plusieurs semaines... Cependant, après avoir débattu longuement, ils ont décidé de poursuivre les tests malgré tout. Rendant tout ceci plus officiel et moins opaque... Et cette fois, vous étiez écoutés. Mais comme on dit souvent, le mal était déjà fait. Tu étais devenu un monstre, et tu avais appris à cacher ton jeu. Tu étais attentif à tout, tâchant d’apprendre le plus de choses possibles.
Mais à force d’être trop ambitieux, de jouer sur plusieurs fronts, on finit par précipiter sa chute, pas vrai ?
Tu avais commencé à t’en prendre à des civils dans les bas-fonds. Le mode opératoire était toujours le même : tu repérais une cible seule, t’approchais d’elle sans bruit avant de lui injecter une dose de somnifère. Tu ramenais ensuite ta proie dans ton « repère », lui faisant subir tout un tas de tortures avant de finalement l’achever.
Mais à force d’utiliser ton don pour faire souffrir tes victimes, tu avais fini par développer un contrecoup fortement handicapant. Au point de devoir aller à l’hôpital pour subir des transfusions, à raison d’une toutes les trois semaines. Cependant, ce n’est pas cela qui a précipité ta chute. Non, ce sont tes multiples victimes, d’abord civiles puis de la police, qui ont largement attiré l’attention du JAG.
Il faut dire que l’état dans lequel tes proies étaient retrouvées et le fait qu’un nouveau corps sans vie était retrouvé toutes les deux semaines, cela les a forcément poussés à s’intéresser de très près à cette histoire, comprenant rapidement que ce n’était pas naturel. Sans oublier que parfois, certaines de tes victimes se retrouvaient tachées d’un sang n’étant pas le leur...
Les policiers commençaient à faire des rondes en groupe, n’osant plus sortir seuls. Tu parvenais quand même à en attirer un à part des autres assez souvent, quitte à te servir des civils en les menaçant d’un sort peu enviable s’ils n’acceptaient pas de t’aider. Tu te croyais presque intouchable, sans que cela soit lié au nom de ton géniteur. Mais dans le même temps, son nom te garantissait une certaine... sécurité à l’hôpital lorsque tu faisais tes transfusions. Personne pour venir t’y chercher.
Mais vers tes 22 ans, ton invulnérabilité vola en éclats. Tu avais fait comme à l’habitude, rien de différent... si ce n’est le fait que tu n’avais peut-être pas choisi la bonne personne à menacer. Car ce que tu avais pris pour un simple civil était un policier déguisé. Résultat, au lieu d’obéir à ton ordre, ce dernier s’était rebellé contre toi, et une lutte s’était engagée. Attirant fatalement l’attention de la patrouille toute proche qui vint à sa rescousse, et tu te retrouvas bloqué au sol avant d’être menotté et emmené au commissariat.
Tu n’étais pas très... coopératif ni bavard, si ce n’était pour les insulter ou les menacer. Malgré tout, au bout de quelques heures, une personne venant de la part du JAG se présenta et exigea de t’emmener avec lui, affirmant que cette affaire n’était plus de leur ressort. Ils tentèrent bien de protester, mais les hurlements de douleur de l’un de leurs malheureux collègues dont tu avais réussi à saisir le poignet les en dissuadèrent. Surtout en voyant l’état de sa peau une fois qu’ils eurent réussi à te faire lâcher prise.
Tu fus emmené dans un endroit immense, où on te fit directement descendre au dernier sous-sol. On t’enferma dans un bocal empli d’une solution apte à bloquer tes pouvoirs, et on s’assura que tu aies toujours une puce du même genre sur toi. Mais s’ils s’imaginaient que juste contenir ton aptitude surnaturelle allait suffire à te calmer, ils se trompaient...
Tu développas assez rapidement un petit jeu assez malsain à chaque fois que l’on te sortait de ton bocal, peu importe le motif. Tu feignais un état de faiblesse important ou un manque d’air, poussant l’un des scientifiques à venir s’inquiéter de ton état. Il y en avait toujours au moins un qui tombait dans le panneau. Et lorsque le malheureux était assez près, tu lui sautais à la gorge afin de t’en prendre à lui, tentant de l’étrangler. Cela te valait bien de retourner rapidement à l’intérieur, mais... tu t’en fichais pas mal.
Cela fait désormais quatre ans que tu joues avec les nerfs de tes geôliers, certains estimant même qu’il serait moins dangereux de te laisser constamment dans ton bocal et de ne jamais te sortir. Le souci étant que tu es mine de rien un bon cobaye pour leurs expériences... Mais qui peut dire ce que l’avenir réserve ?
Profession / Etudes : Ancien cobaye pour un laboratoire pharmaceutique
Anecdotes : Tu es très doué pour manipuler les drogues, que ce soit par ton statut de junkie ou ton ancien statut de cobaye pour un laboratoire pharmaceutique ; de ce fait, tu arrives à calculer les doses au milligramme près. Egalement, tu résistes pas mal à tout ce qui est somnifère ou autre drogue connue à cause de tes multiples abus.
Lien : Père
Nom : Von Sleben
Prénom : Dorian
Statut : Décédé
Métier : Policier
Autres détails: Géniteur et bourreau durant l’enfance. Lorsqu’il a tué sa mère sous ses yeux, Yubel a alors fait son vœu au Marionnettiste, animé par la haine envers cet homme, avant de le tuer deux ans plus tard.
Lien : Mère
Nom : Von Sleben née Flanders
Prénom : Emy
Statut : Décédée
Métier : Femme au foyer
Autres détails: Une femme fragile, ayant tenté au mieux de protéger son fils. Elle a fait un vœu pour empêcher son géniteur de le tuer à force de maltraitance. Elle a été tuée sous les yeux de Yubel alors qu’il avait 16 ans, abattue par son père. C’est suite à cet évènement qu’il a fait son vœu au Marionnettiste.
Lien : Demi-frère
Nom : Olson
Prénom : Luke Alastor
Âge : 24 ans
Activités : Inconnue
Autres détails: Le seul... « rescapé » de la famille, à part Yubel. Il est le seul autre enfant que le policier a eu en dehors de son couple. Pour être exact, le seul dont le policier n’a pas su empêcher la naissance, la mère ayant pris soin de fuir la ville peu après son « aventure » avec ce sale type. Il vit à Londres mais a pris le nom de sa mère, sachant que le nom de son géniteur était quelque peu mal vu dans les bas quartiers.
Question relatives à Destinity
Croyez-vous au paranormal ?
Ne serait-il pas ironique que tu n’y crois pas le moins du monde, quand on sait ce que tu peux faire ? Simplement... tu n’es pas du genre à croire à tout. Les contes de fées pour enfants, ce ne sont que des mensonges.
Vœu au MarionnettisteCitation cool
Quel est ton vœu ? « Je veux que mon enfoiré de père puisse ressentir la douleur, mais sans pouvoir se défendre ou fuir »
Quand l'as-tu fais ? A tes 16 ans, après que ton père ait abattu ta mère sous tes yeux
Quel don as-tu reçu suite à ton vœu ? Nécrose
Depuis que tu es Psy : anémie causée par une destruction de tes globules rouges, hématémèse si utilisation prolongée de ton pouvoir, nécessitant des transfusions assez fréquentes et un traitement par cachets de fer avant chaque utilisation prolongée de ton pouvoir. De plus, vu tes utilisations répétées, tu es constamment anémié, car ton corps ne parvient pas à refabriquer tout ce que tu as perdu. Tu as une limite d’utilisation d’une minute avant que tes globules ne soient détruits, deux minutes consécutives avant que l’hématémèse ne survienne.
HRPCitation cool
Pseudo : Mishy
Un petit mot : J’ai faim ?
Signature du règlement :
J'accepte que mon personnage soit utilisé comme un pnj si je devais quitter le forum alors qu'il a contribué à l'avancée du forum ? Oui
J'accepte que mon personnage soit considéré comme mort si je devais quitter le forum ? Non
J'accepte les cadeaux de la Destinée ? Oui
Lien vers le formulaire : https://abeamusafabulis-rpg.forumactif.com/t46-faisons-connaissance#567
J'accepte de faire partie intégrante de l'intrigue du forum : Oui
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